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Chloé Peccatte

Le choix

Notre société, notre éducation, nos conditionnements collectifs etc nous conditionnent à penser que dans la vie on n’a pas toujours le choix. Or j’affirme qu’on a toujours le choix.


Regardons d’abord quelles sont les raisons pour lesquelles nous croyons ne pas avoir le choix.


Voici une liste non exhaustive : les loyautés (je ne peux pas être plus heureuse que ma mère), les voeux (d’obéissance, de célibat, de pauvreté), les peurs, les blessures, les émotions, les croyances limitantes (je ne suis pas assez forte), les conditionnements cellulaires/collectifs/transgénérationnels (ex : on ne déballe pas ses émotions en public)


Or j’affirmais plus haut (et c’est le fondement de la kinésiologie) : on a toujours le choix. Pourquoi ? Le choix est un élan qui ne dépend que de soi, que de son degré de liberté intérieure, que de sa capacité à dépasser certaines peurs et conditionnements.


Quand on a une écoute intérieure développée, quand on se sent alignée, il se passe 2 choses :

1: on accède à l’écoute intérieure qui est le premier pas vers le mouvement intérieur —> cela nous rend plus à même de faire des choix

2: ce mouvement se fait de l’intérieur vers l’extérieur (pas en fonction d’injonctions extérieures)—> on est plus à même de faire des choix POUR SOI


Quand on retrouve son centre, quand on arrive à entendre sa petite voix, quand on redevient son propre allié et qu’on cultive cela comme un muscle, on développe la connaissance de son être et on dépasse peu à peu les blocages pour remettre le choix en mouvement.


En kinésiologie on travaille la connexion au corps et le retour à une unité/ un alignement/ un centrage avec pour but ultime de redevenir acteur de sa propre vie, de ne plus subir des schémas ou des états d’impuissance. L’objectif est de se remettre en responsabilité de sa vie pour faire de cette phrase une réalité « on a toujours le choix »





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